J'évoquais le son délicieux des sabots de nos amis les chevaux, sur le pavé, durant mon séjour... au coeur de cette ville magnifique, dont je ne citerais pas hâtivement le nom.
Et résonnent encore ces "CLAC, CLOC, CLAC, CLOC, CLAC, CLOC, CLAC, CL............" dans ma tête.
Mais il ne s'agirait pas de se faire uniquement plaisir. Un peu niaisement... quand on les aime, ces êtres princiers, mais également hermétiques, insaisissables.
Petite piqûre de rappel =
# A partir du 18ème siècle, le cheval attelé s'est peu à peu imposé dans les villes, comme moyen de transport destiné aux marchandises et aux personnes. Dans les villes ou sur les routes, les chevaux étaient tous les jours dehors pour mener à bon port hommes et marchandises, qu'il pleuve, qu'il vente ou qu'il neige.
Le choc répété des pieds contre le sol, par exemple, engendrait l'apparition de maladies sérieuses, douloureuses et handicapantes ; quant au traitement des chevaux par les cochers, il n'était pas toujours tendre. C'est ce qu'illutre la célèbre anecdote relatif au philosophe Friedrich Nietzche. Lors d'un séjour à Turin, en 1889, en voyant un cheval se faire fouetter injustement et violemment par un cocher, le philosophe courut se jeter au cou de l'animal pour lui apporter son soutien. Peu de temps après, il sombrait dans la folie....
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Une petite blagounette pour boucler ce petit article, dédié à cet animal, qui, à mes yeux, est probablement le plus séduisant, le plus éblouissant, et le plus noble.
@ Trois hommes parlent entre eux, ils disent :
- Je soupçonne ma femme de me tromper avec un plombier car j'ai trouvé un tuyau de plomberie sous mon lit.
- Moi, je soupçonne ma femme de me tromper avec un électricien, car j'ai trouvé un câble sous mon lit.
- Je soupçonne ma femme de me tromper avec un cheval, car j'ai trouvé un cow-boy sous mon lit.@
Beau week-end !.....car vous en valez bien la peine
Pierre-Jean