"De la nymphomanie" Ecrit et pubié le 29/12/19 par Pierre-Jean.
# Pouf, pouf, pouf !
Pour commencer, quelques paroles d'une chanson que vous reconnaîtrez :
"Près de nous sifflait un merle, la rosée faisait des perles.... Félicie aussi !
Afin d'séduire la chatte, je l'emmenai dîner chez Chartier....
.../.... J'trouvai la chambre ordinaire, elle était pleine de poussière, Félicie aussi...
J'm'lavai les mains bien vite, l'lavabo avait une fuite, Félicie aussi ! "
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ça, c'est la chanson de Fernandel, tout le monde l'a reconnue. //
Il arrive que la nymphomanie soit dépressive ( c'est prouvé)... madame fait-elle peut-être trop souvent la lessive ! (pourquoi toujours laver, laver ?).
Tilalère, tilalère !.....Et l'homme, obsédé sexuel , comment l'appelle-t-on ? le dévoreur de tétons ? (ch'ton, ch'ton, ch'ton !) . L'hypersexualité chez l'homme est aussi appelée satyriasis..... "Bis répétita, ou encore, répétita.... bis !".
Et voilà.... la nymphomanie, une symphonie à part, qui oblige chaque jour à tirer un autre drap... du placard ! // Pierre-Jean.
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Claude Seignolle = "Eloge de la nymphomanie".
Sans être particulièrement féru de la littérature érotique, on fait une exception pour ce livre, car il est signé Claude Seignolle. Seignolle est un grand spécialiste des croyances populaires et autres légendes du terroir. Il est aussi l'auteur de textes fantastiques d'une très grande qualité qui, hélas, semblent surtout connus des amateurs pointus, alors que sa prose, bien que soignée, reste très accessible ; et qui n'a rien à envier aux auteurs anglo-saxon qui tiennent le haut du pavé du genre. Enfin, bref........ pour en revenir à "Eloge de la nymphomanie", il s'agit d'un recueil de trois courts romans parus en 1958, et 1959... L'héroïne du livre s'appelle Sexie, elle et ses amies s'amusent bien ; il faut replacer le livre dans son époque d'avant la "libération des moeurs", tout cela paraît gentillet, et presque "banal"...
Reste toutefois le talent de l'auteur, et son humour qui transparait ici et là, avec des phrases du genre : " [Elle] saisit mon bâton à plaisir. Elle le garde avec un tel élan de possession que, dans une brève pensée d'homme rompu aux chicaneries judiciaires, je me demande si je ne risque pas des difficultés qui m'obligeraient à faire appel à un huissier pour dresser un constat de détournement..."
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Salut, soyez forts...... jusqu'au 31 !
Pierre-Jean